Quelles sont les matières du DSCG ?

Actualité publiée le 18 mars 2022

Le DSCG (Diplôme Supérieur de Comptabilité et Gestion) est le deuxième échelon de la filière de l’expertise-comptable. Composé de diverses UE, quelles sont les matières du DSCG ?

matières DSCG

Quelles sont les matières du programme du DSCG ?

Le DSCG est un diplôme d’État de grade bac +5 très technique et de haut niveau académique. L’examen est divisé en plusieurs unités d’apprentissages, les UE. Il en existe 7 :

  • UE1 : gestion juridique, fiscale et sociale. Au sein de cette unité, sont étudiées des matières comme le droit des sociétés, le droit du travail ou encore le développement et le financement des entreprises.
  • UE 2 : finance. Avec la finance d’entreprise ou de marché, l’analyse financière et l’étude de la trésorerie.
  • UE 3 : management et contrôle de gestion. Cette UE comprend notamment des matières comme le management stratégique ou la gestion des compétences et le développement durable.
  • UE4 : comptabilité et audit. Cette unité d’apprentissage comprend l’étude de la fiscalité des groupes de sociétés, de l’intégration fiscale ou des opérations de fusion.
  • UE 5 : management des systèmes d’information. L’UE regroupe des matières techniques comme l’audit assisté par ordinateur, les progiciels de gestion intégrés ou encore la sécurité des systèmes informatiques.
  • UE 6 : anglais des affaires. La matière est organisée autour de débats contemporains, et de présentations orales.
  • UE 7 : mémoire. La rédaction du mémoire professionnel du DSCG porte sur le stage de 12 semaines qu’aura suivi l’étudiant dans le cadre de sa formation.

Une langue étrangère peut être présentée lors de l’examen du DSCG, bien que le choix de cette matière soit facultatif.

 

Le DSCG : un diplôme flexible et exigeant

Au moment de l’examen, les unités d’enseignement ont des coefficients et des temps de passation divers. Chaque UE permet d’obtenir des crédits ECTS, valables à l’étranger afin de faire reconnaître sa formation post-bac au sein de l’Union européenne.

Ainsi, par exemple, les UE 1, 3 et 4 se déroulent en 4 heures d’examen, ont un coefficient de 1,5 et offrent 20 crédits. Quant aux matières des UE 5 et 7, elles se déroulent respectivement en 3 et une heure et offrent 15 crédits chacune.

Pour réussir à l’examen du DSCG, les candidats doivent obtenir une moyenne des notes supérieure ou égale à 10. Une note inférieure à 6 dans une matière est éliminatoire. En revanche, pour chaque UE, toutes les notes supérieures ou égales à 10 sont obtenues à titre définitif. Ainsi, un candidat peut décider de conserver ou de repasser ultérieurement les matières des UE pour lesquelles il aurait obtenu une note inférieure ou égale à 6.

Passer le DSCG nécessite donc de se préparer à chaque matière du programme. Afin d’y parvenir, il est conseillé de suivre une formation au sein d’un établissement spécialisé en gestion, comptabilité ou finance. À ce titre, l’ENGDE propose des cursus complets et des séminaires de préparation aux diplômes de la filière de l’expertise-comptable. Flexible, mais néanmoins de très haut niveau technique et académique, ses formations comprennent la possibilité de suivre des stages auprès de ses prestigieuses entreprises partenaires.

 

Le DSCG est un examen complexe, qui nécessite un haut niveau de connaissances et une expérience technique sur le terrain. L’aborder préparé, après un entraînement bien encadré, est vivement recommandé aux candidats désireux de faire carrière dans la filière de l’expertise-comptable.

Qu’est-ce que la gestion de patrimoine ?

Actualité publiée le 16 mars 2022

La gestion de patrimoine est une discipline complexe qui nécessite d’avoir des connaissances pointures en finance, immobilier et droit. Elle consiste en la constitution, le développement et l’administration d’un patrimoine privé (appartenant à un particulier ou à une structure professionnelle). Comment se former à la spécialité ?

Gestion de patrimoine : une discipline pluridisciplinaire

La gestion de patrimoine permet de se constituer un ensemble d’actifs, d’engendrer des revenus supplémentaires depuis un patrimoine déjà existant ou encore d’envisager des successions. Un patrimoine peut être constitué d’un ensemble de biens hétéroclites, comme :

  • Des propriétés.
  • Des biens physiques.
  • Des biens professionnels.
  • Des placements financiers, des actions.
  • Des objets d’art ou de collection.
  • Des brevets d’invention, des droits.

Or, un patrimoine, c’est aussi des passifs, comme des dettes ou des emprunts. C’est pour cette raison que les particuliers et les professionnels font appel aux services d’un professionnel de la gestion de patrimoine qui doit comprendre, analyse et tirer le meilleur parti des actifs de ses clients.

La gestion de patrimoine comprend quatre grandes disciples distinctes :

  • L’audit patrimonial : il s’agit d’une étude préliminaire visant à effectuer un diagnostic financier et d’avoir (pour le conseiller) un aperçu de la situation de son client enfin de lui indiquer d’éventuels placements sur le long terme.
  • L’ingénierie patrimoniale : la discipline fait invariablement appel aux services d’un conseiller en gestion de patrimoine.
  • L’architecture ouverte : dans ce cas de figure, le gestionnaire peut opter d’ouvrir les divers champs d’investigation. Il peut alors faire appel à des sociétés de gestion pour faire fructifier l’actif de ses clients.
  • La gestion déléguée du patrimoine. En confiant la gestion de son PER ou de son assurance-vie, les particuliers peuvent voir le taux de rendement de leurs fonds s’accroître sans avoir à y penser.

 

Pourquoi étudier la gestion de patrimoine ?

Un conseiller en gestion de patrimoine travaille avec les entreprises et/ou les particuliers. Afin d’avoir une vision globale des actifs et des passifs de ses clients, il travaille en collaboration avec divers corps de métier : courtiers d’assurance, experts-comptables, notaires, etc. Il divulgue ses conseils en fonction du profil de ses clients et de leurs ressources. Un conseiller en gestion de patrimoine peut travailler au sein d’une banque, être courtier en assurances ou exercer en indépendant.

Les objectifs de la gestion de patrimoine sont multiples, mais on y a généralement recours pour :

  • Augmenter sa capacité d’épargne et mettre en place de nouveaux projets.
  • Optimiser ses impôts.
  • Venir en aide à ses proches.
  • Transmettre son patrimoine.
  • Préparer sa retraite.

Pour devenir conseiller en gestion de patrimoine, il est demandé aux professionnels de suivre une formation technique et spécialisée. Les cursus les plus prisés sont proposés par des établissements d’enseignement spécialisé, à l’instar de l’ENGDE qui propose un Programme Grande Ecole de haut niveau technique et universitaire.

 

La gestion de patrimoine s’adresse à tous et permet d’effectuer des choix selon les indications d’un expert afin d’éviter de graves erreurs.

Mastère en comptabilité : quelle spécialisation choisir ?

Actualité publiée le 14 mars 2022

Une formation du niveau bac +5 en comptabilité, comme un mastère spécialisé, offre de nombreux avantages afin de s’insérer sur le marché du travail. Opter pour la bonne filière de spécialisation est donc crucial dans le cadre d’un parcours universitaire cohérent et performant : comment faire le bon choix ?

Quelles sont les spécialisations des mastères en comptabilité ?

Pour travailler dans la filière comptable, il est possible de passer les diplômes d’État, mais aussi d’obtenir un titre de mastère. Dans le domaine, deux grandes branches d’expertise existent : la spécialisation en Audit, contrôle et comptabilité ou la finance.

Les parcours orientés vers la finance permettent d’étudier et de maîtriser toutes les dynamiques des marchés mondiaux. Quant aux spécialisations Audit et contrôle, ces cursus offrent de tout connaître de la comptabilité et des domaines liés : contrôle de gestion, systèmes d’information ou encore droit fiscal.

Il est préférable de commencer à se spécialiser dès le début de son parcours universitaire en comptabilité. C’est pour cela qu’il est conseillé de suivre un Programme Grande École au sein d’un établissement reconnu par la profession. Les PGE permettent de suivre un parcours complet et cohérent, de bac à bac +5. Ils offrent des options de spécialisation en mastère et garantissent un enseignement structuré et de haut niveau.

Ces diplômes permettent de trouver un emploi au sein de structures ou de cabinets, au poste de :

  • Auditeur financier.
  • Risk Manager.
  • Responsable de la communication financière.
  • Analyste Credit.
  • Consultant fonctionnel en finance.
  • Gestionnaire de trésorerie.
  • Consultant en transaction services, etc.

 

Pourquoi opter pour un mastère professionnel en comptabilité ?

La comptabilité est une filière technique exigeante. Afin d’intégrer professionnellement le secteur et d’y faire carrière, il est important de construire un bon parcours universitaire. Il est donc vivement conseillé aux étudiants d’opter pour un mastère professionnalisant, dont le programme scolaire comprend une ou plusieurs sessions de stage.

Ce type de formation est proposé par les établissements d’enseignement spécialisé. Ces écoles offrent des cursus de haut niveau, qui sont animés par des enseignants issus du monde professionnel. Cette spécificité garantit aux étudiants d’accéder à un apprentissage orienté vers l’acquisition de compétences pratiques et qui reflète les réalités du terrain.

En effet, les recruteurs de la filière de la comptabilité au sens général sont attentifs aux candidats présentant un parcours universitaire ayant bénéficié de l’apprentissage par la modalité de l’alternance. Ce dispositif est le gage d’un entraînement tourné vers la pratique, ainsi que de l’acquisition de savoir-faire obtenus sur le terrain au contact des professionnels du secteur.

À ce titre l’ENGDE, établissement spécialisé dans la gestion, la finance et l’expertise-comptable propose un Programme Grande École complet et de très haut niveau technique et académique dans les deux grandes spécialités de la filière comptable : l’audit et le contrôle ou la finance.

 

Bien se spécialiser au grade de mastère en comptabilité est une décision cruciale afin de construire un bon parcours universitaire et de réussir son insertion professionnelle.

Que faire après un DEC ?

Actualité publiée le 11 mars 2022

Le Diplôme d’Expertise Comptable (DEC) est le dernier échelon de la filière de l’expertise comptable. Il sanctionne huit années d’études après le baccalauréat, c’est le cursus technique et pratique par excellence du secteur de la comptabilité, de la gestion et de la fiscalité. Mais que faire après avoir obtenu son DEC ?

Le DEC : un diplôme professionnel

Le DEC s’obtient après trois années de stage professionnel et suite à la réussite aux épreuves écrites et orales de l’examen. Les candidats du DEC sont en réalité insérés dans la vie active, puisque le diplôme n’est délivré qu’après trois ans de stage minimum. Bien que de nombreux débouchés s’offrent aux titulaires du diplôme, le DEC reste la clé pour exercer en tant qu’expert-comptable.

Les étudiants titulaires du diplôme qui choisissent la voie comptable devront impérativement s’inscrire à l’Ordre des experts-comptables. Ils pourront choisir de travailler au sein d’une structure, d’un cabinet ou d’exercer en libéral. En effet, suite à leur expérience sur le terrain, les titulaires d’un DEC peuvent intégrer la structure au sein de laquelle ils ont suivi leur stage ou postuler auprès d’autres cabinets. Dans les deux cas, leur formation de très haut niveau leur permet de gravir les échelons jusqu’au rand d’associé.

Hors cabinet, l’expérience du salariat en entreprise séduit un nombre croissant de diplômés du DEC. Leur connaissance du terrain, leurs compétences pratiques du management et leurs savoir-faire professionnels les prédisposent aux postes de directeurs administratifs et financiers.

 

DEC : l’expertise-comptable, mais pas que

Avec un DEC, il n’est pas obligatoire d’officier exclusivement en tant qu’expert-comptable, d’autres professions sont accessibles avec l’obtention du diplôme :

  • Manager de risques.
  • Responsable consolidation.
  • Auditeur comptable.
  • Directeur comptable.
  • Directeur administratif et financier.
  • Contrôleur de gestion, etc.

En effet, l’étudiant qui a réussi les épreuves du DEC est capable de remplir diverses missions dans des secteurs variés : audit, comptabilité, conseil, gestion et administration, conseil fiscal et juridique ou encore utilisation et mise en place de systèmes informatiques comptables. Les titulaires du diplôme s’avèrent être d’excellents cadres supérieurs de la filière comptable, financière, administrative et fiscale. Ils sont aussi reconnus pour leurs compétences en gestion des ressources humaines et leur connaissance des marchés internationaux.

Il leur sera aussi possible d’exercer comme commissaires aux comptes, à certaines conditions : avoir choisi d’effectuer leur stage obligatoire auprès d’un CAC habilité pour pouvoir s’inscrire sur la liste officielle des CAC. Enfin, le titulaire d’un DEC peut participer aux grands concours de la fonction publique ou à l’agrégation d’économie et de gestion.

Afin de s’assurer de suivre un cursus universitaire suffisamment complet pour pouvoir réellement choisir quel secteur intégrer après son DEC, il est important de suivre sa formation dans le bon établissement. Il est vivement conseillé d’opter pour une préparation au diplôme organisée et animée par un établissement spécialisé et reconnu par la profession, à l’instar de l’ENGDE.

 

Après un DEC, poursuivre son parcours universitaire dans la recherche, notamment en sciences humaines est une option tout à fait envisageable.

Comment calculer le résultat d’un exercice comptable ?

Actualité publiée le 9 mars 2022

Calculer le résultat comptable d’une société est non seulement une obligation annuelle, mais aussi un excellent instrument de gestion de la structure. Le résultat ainsi individualisé est un indicateur crucial de la santé des activités de l’entreprise. Alors qu’est-ce que le résultat d’un exercice comptable et comment le calculer ?

Quelle méthode appliquer pour calculer le résultat comptable ?

Afin de calculer le résultat comptable d’une société, il est possible de considérer les éléments du compte de résultat ou le bilan de l’entreprise.

Le compte de résultat a vocation à récapituler les produits d’exploitation (le chiffre d’affaires hors taxes pour l’exercice comptable). Si, à la fin du calcul, les produits (compte 7) sont supérieurs aux charges (compte 6) : le résultat est positif et l’entreprise réalise un bénéfice. Quand en revanche les produits apparaissent inférieurs aux charges, le résultat est négatif, la structure est en déficit.

Le bilan de la société récapitule les dettes et les créances d’une société à la clôture de l’exercice. Le résultat de l’entreprise représente la différence entre l’actif et le passif. Quand l’actif est supérieur au passif, le résultat est positif et la structure a réalisé un bénéfice. À l’inverse, si l’actif est inférieur au passif, le résultat est alors négatif, cela signifie que l’entreprise réalise un déficit.

Il existe plusieurs méthodes de calcul du résultat comptable, le choix de la technique dépendra des données à analyser. À titre d’exemple, il est possible de calculer :

  • Le résultat net comptable. Il correspond au résultat d’exploitation auquel a été soustrait le montant de l’impôt dû au titre de la période, ainsi que les salaires des employés.
  • Le résultat exceptionnel : qui ne prend en compte que les éléments exceptionnels enregistrés par l’entreprise au cours de la période.
  • Le résultat financier, qui est la différence entre les placements (produits financiers) et les charges financières de l’entreprise (les intérêts des emprunts contractés).

 

Calculer le résultat comptable : outils de gestion et d’optimisation

Le résultat comptable ainsi calculé est un indicateur de gestion qui ne tient pas compte des éléments financiers ou fiscaux de l’entreprise. C’est une évaluation concrète du cycle d’exploitation de la structure. En revanche, il ne prend pas en compte certains aléas courants comme le vol, le rachat de matériel pou le paiement de dommages et intérêts (en cas de litige et de condamnation de l’entreprise).

Le résultat comptable de l’entreprise peut aussi être appelé résultat d’exploitation. C’est un calcul technique grâce auquel un expert-comptable peut vérifier la rentabilité du cycle d’exploitation de la société. Il est considéré comme rentable lorsque le résultat comptable donne un bénéfice. En revanche, un calcul au montant final négatif montre que la société a perdu de l’argent et donc que son cycle d’exploitation n’est pas lucratif (les dépenses de la structure sont trop élevées par rapport à ce qu’elle encaisse). Le calcul du résultat comptable est alors un outil puissant d’optimisation des modes de fonctionnement de l’entreprise, qui sait qu’il lui faut réorganiser son cycle d’exploitation.

Pour savoir comment calculer le résultat comptable d’une société, il faut suivre une formation professionnalisante au sein d’un établissement spécialisé en gestion, comptabilité et fiscalité, à l’instar de l’ENGDE.

 

Calculer le résultat comptable ne s’improvise pas : seuls les professionnels habilités à prendre en main la comptabilité d’une entreprise sont aptes à effectuer ces opérations techniques.

Tout savoir sur le management de la performance

Actualité publiée le 7 mars 2022

Le management de la performance, c’est une méthodologie qui vise à tirer de chaque collaborateur d’une entreprise le meilleur parti possible. La discipline a déjà fait ses preuves : épanouissement des collaborateurs, engagement et motivation ainsi que diminution du stress au travail.

Quels sont les piliers du management de la performance ?

Une bonne stratégie du management de la performance privilégie un lien direct avec les collaborateurs d’une structure. En premier lieu, le manager établit des objectifs clairs et spécifiques à chaque membre de ses équipes. Cela permet aux employés de connaître les directions dans lesquelles diriger leurs efforts.

Pour y parvenir, les professionnels du management de la performance impliquent leurs équipes dans la détermination de leurs grilles d’évaluation, ce qui a pour effet de générer un très fort taux d’engagement. C’est aussi un excellent moyen d’éviter les surprises et de désamorcer les inquiétudes lors de l’entretien annuel d’évaluation.

Pratiquer dans le cadre du management de la performance, c’est aussi communiquer et recevoir les retours réguliers de ses équipes. Un bon management, c’est une communication saine tout au long de l’année.

Avec le management de la performance, les équipes sont responsabilisées et les cadres de la structure démontrent qu’ils leur font confiance. Les collaborateurs sont alors encouragés à travailler le plus possible de manière autonome. Chaque membre peut donc prendre des décisions impactantes sur son travail, ce qui favorise grandement son épanouissement. Bien entendu, pour que ce type de méthode puisse être mis en place, il est nécessaire d’instaurer un droit à l’échec (et de le respecter).

 

Le management de la performance en pratique

Le management de la performance vise aussi à développer les compétences personnelles des salariés d’une structure et à favoriser leur créativité. En mettant en place un environnement de travail propice à l’épanouissement, les employés peuvent lors exprimer tout leur potentiel. Agencement des locaux, formations professionnelles, moment de créativité aménagés dans les emplois du temps de chaque équipe, etc.

Les professionnels du management doivent donc choisir les bons outils pour mesurer l’évolution de la performance au sein de leur structure. En règle générale, il s’agit des objectifs individuels clairement fixés conjointement avec les membres des équipes. Selon le concept du management de la performance, ces objectifs doivent respecter une logique « SMART » :

  • Spécifiques
  • Mesurables
  • Ambitieux
  • Réalistes
  • Temporels

Il est vivement conseillé de jalonner l’année de nombreux entretiens réguliers, qui favorisent le lien entre les managers et leurs équipes et qui permettent de diminuer le stress en favorisant un cadre de travail serein et bienveillant.

Afin de tout savoir des méthodes de management de la performance et de leurs évolutions futures, il est important de se former au sein d’un établissement spécialisé dans la gestion. À ce titre, l’ENGDE propose un PGE d’excellent niveau académique et technique qui bénéficie de la modalité de l’apprentissage en alternance ainsi que de l’expertise pédagogique d’une équipe d’enseignants issus du monde professionnel.

 

Le management de la performance prend une ampleur considérable et répond à de nombreuses problématiques rencontrées par les directions des entreprises ainsi que par leurs collaborateurs.

Comment tenir un livre de comptes ?

Actualité publiée le 4 mars 2022

Tenir un livre de comptes fait partie des obligations comptables faites aux professionnels.  Ce document récapitule les entrées et sorties d’argent de l’entreprise et permet ainsi de suivre aisément les flux de capitaux qui la concernent. Un livre de compte est un outil de gestion d’une société, qui permet de connaître l’évolution de ses recettes et de son chiffre d’affaires. Alors, comment tenir à jour ce document officiel ?

Tenir un livre de compte : faire preuve de rigueur

Pour tenir un livre de comptes à jour, il faut y inscrire quotidiennement les opérations financières. Ce document comptable se présente en effet de manière chronologique, afin de permettre de suivre la progression des activités d’une société. Tenir un livre de compte, c’est enregistrer automatiquement deux mouvements minium : un débit et un crédit. Le livre de compte fonctionne selon le principe fondamental de la comptabilité en partie double.

  • Le livre de comptes est constitué de 6 colonnes :
  • Date d’enregistrement de l’opération.
  • Libellé : descriptif de la transaction (marchandise, taxe, etc.).
  • Solde : après enregistrement de la transaction.
  • Recette : montant encaissé.
  • Référence : numéro de facture ou de reçu.
  • Dépense : montant de la dépense.

Tenir un livre de compte nécessite de travailler de manière rigoureuse et régulière. S’il est bien tenu, c’est un document qui permet de tout savoir de la santé financière d’une structure. Outil de gestion et d’optimisation, les entreprises l’utilisent pour se projeter dans l’avenir et développer leurs activités professionnelles. Il offre aussi de détecter des incohérences, et de maîtriser les flux de trésorerie.

De nos jours, les travailleurs autonomes, qui bénéficient d’une comptabilité allégée, doivent aussi tenir à jour un registre de leurs écritures comptables. Ils devront inclure à la tenue de leur livre de comptes certains justificatifs, tels que : les factures de vente et de dépenses professionnelles, les relevés de banque et les bordereaux de dépôt.

Quelles sont les différentes méthodes pour tenir un livre de comptes ?

Il existe deux grandes méthodes pour tenir un livre de comptes : la comptabilité d’engagement et la comptabilité de trésorerie.

La comptabilité d’engagement vise à enregistrer les mouvements bancaires de l’entreprise au moment de la facturation. Quant à la comptabilité de trésorerie, elle consiste à enregistrer les opérations une fois facturées.

Il est vivement conseillé de confier la tenue de votre livre de compte à un expert-comptable. Ce professionnel connaît toutes les techniques de travail efficaces, qu’elles soient automatiques ou manuelles. En effet, tenir un livre de compte peut se faire via un logiciel de comptabilité. Dans ce cas, il faut tout de même qu’un professionnel assermenté procède à la vérification du document généré.

À l’ENGDE, école spécialisée dans la gestion, la finance et la comptabilité, les étudiants sont formés à toutes les méthodes comptables pour savoir comment tenir un livre de compte. Grâce à leur formation en alternance, ils sortent de leur cursus avec un bagage professionnel solide.

Tenir un livre de compte est un acte de gestion quotidien d’une entreprise. Document comptable essentiel à la bonne marche des activités d’une structure, il est conseillé d’en confier la tenue à un professionnel.

Comptabilité : Passer le DCG grâce au CPF

Actualité publiée le 2 mars 2022

Le compte professionnel de formation (CPF) est ouvert pour chaque personne active et permet de financer un apprentissage professionnel en vue de compléter des compétences ou de se reconvertir. Est-il possible de passer le DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion) grâce au CPF ?

 

Le DCG est-il élligible au CPF ?

Les préparations pour passer les tests des titres de la filière de l’expertise comptable peuvent être financées par le CPF pour chaque salarié français. Attention, sont éligibles au CPF les formations et non les diplômes.

Le DCG est le premier palier de la filière de l’expertise-comptable. La structure même du diplôme le rend particulièrement accessible aux professionnels en reconversion. Il est composé d’UE qu’il est possible de valider à des rythmes différents dans un délai de huit ans.

Pour s’inscrire à une session, il faut se connecter à son espace personnel CPF (via un navigateur classique ou directement sur l’application). Les références des formations éligibles au dispositif y sont indiquées ainsi que les droits accumulés au titre de vos années d’activité.

Il suffit de sélectionner dans la liste le DCG, sachez que vous aurez besoin de l’autorisation de votre employeur si les horaires de la formation vous empêchent de vous rendre sur votre lieu de travail. En revanche, son accord n’est pas nécessaire quant au financement de l’apprentissage.

Attention, n’oubliez pas de vous inscrire à l’examen du DCG proprement dit sur le site du SIEC. La sélection d’une formation du CPF ne vaut pas une inscription auprès des services de l’État.

 

DGC par le CPF : choisir la bonne formation

Toutes les formations DCG ne sont pas exigibles au CPF, pour vous assurer que celle qui vous intéresse en fait partie, connectez-vous à votre espace personnel. Deux solutions s’offrent alors à vous : choisir une formation initiale et en présentiel dans un établissement spécialisé ou opter pour des séminaires de révision « à la carte ».

Les formations complètes préparent à la fois à la passation du DCG ainsi qu’à l’obtention de titres reconnus par l’État de grade Bachelor. Vous pourrez aussi sélectionner une formation aux modalités plus souples, élaborées pour les professionnels actifs qui ne peuvent se libérer que pendant les week-ends. En effet, certains établissements proposent aux candidats du DCG de se préparer avec leurs enseignants spécialisés dans le cadre de séminaires de révision.

Des formations de préparation au DCG sont proposées en ligne, mais il ne s’agit pas d’une option recommandée. Le diplôme nécessite de maîtriser certains savoirs techniques, qui ne peuvent s’obtenir que grâce à l’intervention d’un professeur expert de la filière comptable.

À titre d’exemple, les séminaires de révision de l’ENGDE sont ouverts à tous les candidats qui remplissent un dossier de participation, qu’ils soient étudiants, salariés ou demandeurs d’emploi. Les conditions d’admission à ces formations spécifiques sont celles de l’inscription au diplôme. Ces séminaires se déroulent un samedi par mois pour chaque UE du DCG.

 

Entamer une reconversion professionnelle et passer le DCG tout en étant encore en poste, c’est possible. Il faut opter pour une formation du CPF flexible et de très haut niveau académique animée par des experts du secteur.

Qui a le droit de tenir la comptabilité d’une entreprise ?

Actualité publiée le 28 février 2022

Produire des écritures comptables saines et à jour est une obligation pour toutes les sociétés et une activité exclusivement réservée aux professionnels de la filière de l’expertise-comptable. Les obligations varient selon la forme juridique de la structure, ainsi qu’en fonction des normes législatives en vigueur. Tenir illégalement la comptabilité d’une entreprise est un délit, qui peut alors s’en charger ?

Tenir la comptabilité d’une entreprise : une prérogative de l’expert-comptable ?

Si la majeure partie des sociétés externalisent la tenue de leur comptabilité à un cabinet d’experts-comptables, ce n’est pas une obligation. Un gérant ou un salarié de la structure peut parfaitement tenir les comptes de sa société.

Attention aux fraudes en cas de recours aux prestations d’un tiers. Il est interdit d’officier et de tenir les comptes d’une personne morale sans être inscrit à l’Ordre des experts-comptables. La pratique illicite est passible d’un an de prison et 15 000 euros d’amende. À titre d’exemple, est considéré comme illégal :

– La tenue des comptes par des comptables multi-salariés, car le lien de subordination n’est pas suffisamment évident.

– La tenue comptable par un conseil en gestion.

– L’élaboration des documents fiscaux par des sociétés informatiques qui offrent de générer automatiquement la saisie comptable au moyen de leur logiciel.

Selon les statuts de la structure, certaines opérations peuvent être confiées à un Commissaire aux comptes. Il effectuera un contrôle très poussé afin d’attester de la validité légale des documents fiscaux de l’entreprise.

 

Comptabilité d’une entreprise : une activité strictement réglementée

La réglementation stricte qui entoure la prise en main de la comptabilité d’une société vise à protéger les entreprises. Les personnes qui pratiquent sans être inscrites à L’Ordre des experts-comptables n’ont pas toutes les compétences, ni la pleine maîtrise des outils techniques permettant de tenir les comptes d’une structure. En prenant en main les écritures comptables d’une société sans être inscrits officiellement, ces personnes se rendent coupables d’une grave pratique frauduleuse.

N’appartenant pas à la profession, elles ne sont pas soumises aux normes et aux contrôles en vigueur. Le risque d’erreurs ou de non-conformités légales est alors considérable. De plus, en cas de litige, les clients de ces prestataires ne bénéficient pas des garanties professionnelles ni des procédures d’arbitrages visant à les protéger. Aucune démarche de règlement à l’amiable ne pourra être mise en place, et la voie judiciaire est obligatoire pour justifier de la bonne foi de l’entreprise involontairement mise en cause devant les tribunaux.

Afin d’être accrédité comme expert-comptable et pouvoir tenir les comptes des entreprises, il faut passer les échelons de la filière de l’expertise-comptable. L’inscription à l’Ordre s’effectue à la fin du parcours universitaire, soit après 8 années d’études. Pour réussir son cursus comptable, il faut se préparer aux diplômes d’État au sein d’un établissement spécialisé. L’ENGDE propose des formations du Bachelor au Mastère ainsi que des préparations à toutes les épreuves de la filière comptable (DCG, DSGC et DEC).

 

Le législateur a régulé la pratique frauduleuse de la tenue des comptes d’une société afin de protéger les entreprises. Seuls de véritables experts-comptables, inscrits à l’Ordre et soumis aux obligations de la profession sont autorisés à prendre en main la fiscalité des sociétés.

En quoi consiste le métier d’analyste financier ?

Actualité publiée le 24 février 2022

 

Le métier d’analyste financier consiste à analyser des sociétés cotées en bourse afin d’effectuer une évaluation. Pour y parvenir, ce professionnel décode les informations fournies par les banques de données de la Finance et de la Presse et agit sur les marchés financiers. En quoi consiste précisément cette profession ?

 

Exercer le métier d’analyste financier : les missions

Dans le cadre de son métier, l’analyste financier opère une évaluation des sociétés sous divers aspects : rentabilité, restructurations à effectuer, état et fonctionnement des ressources humaines, etc. Pour y parvenir, il se base sur diverses sources, comme l’analyse des bilans et des rapports annuels ou la lecture et l’étude d’articles de la presse spécialisée. Il compare ensuite le résultat de son enquête avec le cours de la Bourse et vérifie le juste prix des actions de ses entreprises clientes.

Afin de rendre un audit viable, complet et de haut niveau technique, il est donc amené à travailler avec les directeurs financiers et les directeurs généraux des structures du secteur qu’il étudie. Il intervint auprès des traders, des gérants de portefeuille ainsi que des concepteurs de produits financiers. En somme, il vient en aide aux investisseurs afin de choisir les valeurs et les actions les moins risquées et les plus rentables. Pour donner une base technique à son conseil, l’analyste financier effectue des études très approfondies.

Le métier d’analyste financier peut aussi s’exercer en banque. Dans ce cas, cet expert joue un rôle de conseil et de gestionnaire de portefeuille client. Enfin, il peut travailler dans le cadre d’un rachat d’entreprises, ce qui nécessite qu’il effectue des études très approfondies.

 

Comment se former au métier d’analyste financier ?

Afin de mener à bien toutes ses missions et d’être en mesure de suivre un audit efficace et précis, l’analyste financier fait preuve de solides compétences dans divers domaines : droit, économie, marketing et finance. C’est un expert qui détient un titre d’ingénieur ou un diplôme de niveau bac +5 obtenu auprès d’une école spécialisée.

Très technique et recherché par les recruteurs des plus grandes entreprises, le métier d’analyste financier requiert en effet de se former à haut niveau au sein d’un établissement spécialisé en gestion, finance et comptabilité. À l’issue de sa formation, l’analyste financier peut intégrer immédiatement un premier poste qui lui permet d’obtenir un salaire moyen aux alentours des 34,5K € annuels.

Il est donc vivement conseillé aux étudiants désireux d’exercer le métier d’analyste financier de choisir un bon établissement et d’y suivre un PGE de haut niveau technique et académique. À titre d’exemple, l’ENGDE propose un Programme Grande École complet qui comprend un Mastère Finance qui débouche sur le métier d’analyste financier. Les étudiants qui suivent ce programme de formation bénéficient de l’expertise des enseignants de l’école, ainsi que de la possibilité d’effectuer l’intégralité de leur parcours en alternance.

 

Le métier d’analyste financier est très en vogue et intéresse de nombreux professionnels de la Finance. Son rôle est essentiel dans le monde des affaires, c’est pour cette raison qu’il est demandé à cet expert de se former à haut niveau.

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