Quelle formation suivre pour passer son DSCG ?

Actualité publiée le 8 septembre 2020

Le DSCG, Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion, est un diplôme reconnu par l’Etat correspondant au niveau Bac+5. Il incarne la deuxième étape du cursus d’études menant à la profession d’Expert-Comptable, et donne aussi accès à de nombreux débouchés professionnels. Pour réussir le passage de cet examen complexe, il est vivement conseillé de s’y préparer par le biais d’une formation spécialisée.

Un approfondissement du DCG

Le DSCG est un diplôme intermédiaire de la filière Expertise-Comptable. Il est accessible à partir de certains Bac+5, et succède à l’obtention du DCG (de niveau Bac +3). Le Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion permet différentes orientations : son titulaire peut choisir d’intégrer le monde du travail ou bien de poursuivre ses études pour devenir Expert-Comptable.
Le Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion se prépare en deux ans. Son examen porte sur des disciplines intervenant dans le prolongement de celles étudiées lors du DCG : finance, comptabilité, management et contrôle de gestion, gestion juridique, gestion fiscale, audit… Un stage en entreprise, d’une durée minimale de douze semaines, est impératif pour la validation de cet examen.
Afin d’acquérir l’ensemble des connaissances exigées pour le DSCG, il est vivement conseillé de suivre une formation poussée dans le domaine de la comptabilité. Concrètement, l’idéal est de s’orienter vers un cursus préparant spécifiquement aux épreuves de cet examen. Certaines écoles supérieures de la Finance et de la Gestion, comme l’ENGDE, proposent une filière exclusivement consacrée à la préparation du DSCG. Au cours de ce cursus, l’étudiant reçoit des cours portant sur l’ensemble des disciplines comprises dans l’examen : finance, management des systèmes d’information, contrôle de gestion et d’un accompagnement spécifique et personnalisé pour la rédaction de son mémoire . . . élément très important pour l’obtention du DSCG
Pour permettre à l’étudiant de gagner un maximum d’autonomie sur le terrain, cette formation est généralement accessible en alternance. Certains cursus préparant au passage du DSCG comprennent des spécificités : à l’ENGDE par exemple, il est possible d’opter pour un parcours en alternance spécialisé dans l’audit.

Quels sont les débouchés possibles après l’obtention du DSCG ?

Si le titulaire du DSCG compte devenir Expert-Comptable, il doit poursuivre ses études afin de pouvoir passer le DEC (Diplôme d’Expert-Comptable). Le DEC est un examen de niveau Bac+8, et exige d’avoir préalablement travailler pendant 3 ans avec le statut d’expert-comptable stagiaire
L’obtention du DSCG donne également accès à de nombreuses professions très recherchées sur le marché de l’emploi. Son titulaire est en effet un véritable expert des techniques comptables, juridiques et financières, ce qui lui permet de prétendre à des postes d’envergure stratégique. Le détenteur du Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion peut se diriger vers une carrière d’Analyste Financier, de Directeur d’Agence Bancaire, de Trader, ou encore de Consultant.

Le DSCG incarne donc une étape incontournable pour s’orienter vers certains métiers de la comptabilité et de la gestion, et ouvre également l’accès au passage du DEC. Très complexe, cet examen doit faire l’objet d’une préparation rigoureuse. Pour cette raison, il est recommandé de choisir une formation exclusivement axée sur cet examen.

 

 

DCG, DSCG et DEC : tout savoir sur les diplômes comptables

Actualité publiée le 13 juillet 2020

Aujourd’hui, il existe trois diplômes spécialisés dans les métiers de la comptabilité : le DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion), le DSCG (Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion), et enfin le DEC (Diplôme d’Expertise-Comptable). Quelles sont les principales différences entre ces certifications ? 

Un cursus spécifique

Le DCG, DSCG et le DEC correspondent tous à un diplôme de comptabilité reconnu par l’Etat. Concrètement, chacun d’entre eux renvoie à un niveau d’études précis. Pour commencer, le DCG correspond à un niveau bac+3, et offre un grade de Licence. La possession de cette certification permet d’accéder à des postes très recherchés sur le marché de l’emploi : Comptable, Contrôleur de Gestion, Spécialiste de la Comptabilité Financière…

Le DCG permet également de préparer l’étudiant à passer le DSCG, qui s’étale sur une durée de deux ans et confère un grade de Master. L’obtention du DSCG ouvre la voie à des postes stratégiques : Responsable de Comptabilité, Analyste Financier, Responsable de Mission, Auditeur…

Si au terme de son DSCG, l’étudiant souhaite embrasser une carrière d’Expert-Comptable, une poursuite d’études est alors nécessaire, car il s’agit d’un diplôme de niveau bac+8. Il doit alors travailler pendant trois années au cours desquelles il aura le statut d’expert-comptable stagiaire, pour être autorisé à s’inscrire à l’examen du DEC et devenir Expert-Comptable.

Concernant les modalités d’épreuves, la session du DCG a lieu une fois par an, et est accessible à partir du niveau baccalauréat. Le DCG se divise en 13 unités d’enseignements (UE), et l’une d’elles correspond à un stage en entreprise de huit semaines minimum. Le DSCG, quant à lui, est ouvert aux personnes possédant le DCG (et parfois certains diplômes équivalents). Il se compose de 7 unités d’enseignements, dont un stage de seize semaines minimum. Enfin, le DEC se divise en 3 épreuves, et est accessible aux personnes justifiant du DSCG.

Préparer l’obtention de ses diplômes

Afin de décrocher ces trois diplômes indispensables à la profession d’Expert-Comptable, de très solides connaissances sont nécessaires. Les épreuves portent en effet sur des disciplines pointues, telles que l’économie contemporaine, la comptabilité approfondie, ou encore la gestion juridique.

Par conséquent, il est vivement conseillé de préparer ces examens au sein d’une école spécialisée dans la gestion et l’expertise-comptable. Certains établissements, tels que l’ENGDE, proposent des formations spécifiquement consacrées aux UE de référence du DCG et du DSCG.

Les enseignements abordés au cours de ce type de formation sont variés : finance d’entreprise, contrôle de gestion, droit fiscal, comptabilité et audit, économie… Ils permettent ainsi aux étudiants d’optimiser leurs chances de décrocher leur diplôme, tout en découvrant l’ensemble des facettes des métiers de la comptabilité. La plupart du temps, ces cursus peuvent être suivis en alternance, ce qui représente une excellente opportunité de renforcer son expérience sur le terrain. 

La filière de la comptabilité offre donc une importante flexibilité à l’étudiant, qui a la garantie de trouver un emploi quel que soit son niveau d’études. De nombreux postes sont en effet accessibles à partir de l’obtention du DCG, mais l’étudiant peut parfaitement choisir de poursuivre ses études en DSCG, voire en DEC, pour accéder à des postes encore plus qualifiés.

L’Etat soutient les entreprises sur l’apprentissage

Actualité publiée le 8 juillet 2020

4 mesures phares ont été annoncées le 4 juin par le gouvernement dans le cadre d’un grand plan de relance massif de l’apprentissage.

Objectif : soutenir financièrement les entreprises et maintenir le nombre d’apprentis atteint en 2019.

Parmi les mesures :

1.

5 000€ pour les mineurs
8 000€ pour les majeurs

Le coût du recrutement d’un étudiant en contrat d’apprentissage ou de professionnalisation représente un faible reste à charge – voir quasi-nul – pour la 1ère année du contrat.

2. Dispositif étendu à tous les étudiants en contrat d’apprentissage de Bac à Bac+5 (niveau 6 et 7 du RNCP) ou en contrat de professionnalisation de Bac à Bac+3 (niveau 6 du RNCP).

3. Aide financière pour tous les contrats signés entre le 1er juillet 2020 et le 28 février 2021. Les jeunes en formation pourront rester jusqu’à 6 mois dans leur centre de formation sans contrat d’apprentissage.

4.Toutes les entreprises sont concernées par ces aides, sous réserve d’atteindre un quota minimum de contrats d’apprentissage ou de professionnalisation dans leur effectif en 2021 pour les entreprises de plus de 250 salariés ou qu’elles ne soient pas redevables de la contribution supplémentaire à l’apprentissage. 

 

Toutes nos équipes restent mobilisées pour accompagner les entreprises dans leur politique d’alternance.

Retrouvez toutes nos formations disponibles en alternance en cliquant ici

Pour tout renseignement supplémentaire, vous pouvez contacter Aurélie Pineau, Responsable des Relations Entreprises de l’ENGDE à l’adresse suivante ap@engde.fr.

7 préjugés sur le métier de comptable

Actualité publiée le 15 juin 2020

Les professions exercées dans le domaine de la comptabilité sont soumises à de nombreux clichés, souvent très éloignés de la réalité. Découvrez sept idées reçues sur le métier de comptable.

Le profil type du comptable, un stéréotype obsolète

A cause de nombreuses idées reçues, les professions comptables sont souvent assimilées à des métiers d’hommes d’un âge avancé, vêtus du traditionnel costard-cravate. Les statistiques font cependant mentir ce préjugé : selon une étude du guide CIDJ datant de 2018, 83 % des postes du secteur de la comptabilité sont occupés par des femmes, et plus de 22 % des salariés de ce milieu ont moins de 30 ans !

Les compétences des métiers comptables font également l’objet de nombreux clichés. En effet, le comptable est souvent perçu comme un véritable génie des mathématiques, capable de compter à toute vitesse. En réalité, il est parfaitement envisageable de s’orienter vers un métier de la comptabilité sans pour autant être un expert en mathématiques. Concrètement, l’univers de la comptabilité est surtout basé sur d’importantes capacités d’analyse et un esprit logique. Les connaissances principalement attendues d’un professionnel de ce secteur concernent davantage le droit fiscal, le droit social, l’économie et les finances.  

Les métiers comptables sont considérés comme des métiers désuets et qui laissent peu de place à la vie privée, mais cette vision est aujourd’hui totalement obsolète. Si par le passé, le quotidien des métiers comptables pouvait comporter certaines tâches répétitives, l’ère du digital a totalement bouleversé cette tendance. En effet, il est maintenant possible de déléguer ce genre de tâches à des outils issus des nouvelles technologies. Les professionnels du secteur comptable peuvent désormais se concentrer sur d’autres aspects de leur métier tels que le conseil ou le suivi de la clientèle. En faisant preuve d’une bonne organisation, il est d’ailleurs parfaitement possible de concilier vie professionnelle et vie privée.

Des clichés relatifs au rythme de travail et aux études

Paradoxalement, certaines idées reçues consistent à affirmer que le comptable ne travaille « vraiment » que durant la période fiscale. S’il est vrai que la charge de travail est plus dense au cours de cette période, le reste de l’année reste dense. Il convient de tenir la comptabilité à jour et de mener une veille active sur les différentes déclarations fiscales de son portefeuille clients. Le comptable doit de plus en plus réaliser des prévisionnels, accompagner et conseiller les créateurs d’entreprises et malheureusement accompagner aux mieux les entreprises en difficultés. Il est devenu au fil des années l’interlocuteur privilégié du chef d’entreprise (en particulier des TPE et PME).

Enfin, un des principaux clichés relatifs aux métiers de la comptabilité concerne la durée des études. Il est fréquent d’entendre dire que les professions comptables ne sont accessibles qu’à l’issue de très longues études, ce qui est inexact. Le DEC (Diplôme d’Expert-Comptable) exige effectivement un niveau bac+8, mais de nombreux autres métiers de la comptabilité peuvent s’exercer après l’obtention d’un mastère ou d’une licence. Le DCG (Diplôme de Comptabilité Gestion) correspond, à ce titre, à un niveau bac+3 et permet d’accéder à des postes tels que Responsable Paie, Comptable ou Inspecteur des Impôts. De niveau bac+5, le DSCG (Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion) ouvre également la voie à de nombreuses opportunités de carrière. Très professionnalisants, ces diplômes exigent toutefois un haut niveau de connaissances. Pour les préparer au mieux, il est recommandé de suivre une formation spécifique. Certaines écoles de Gestion et d’Expertise-Comptable, comme l’ENGDE, proposent d’ailleurs des cursus exclusivement consacrés à la préparation de ces examens.

Métier d’homme, cursus bac +8 obligatoire, accomplissement de tâches répétitives… Les idées reçues qui entourent les métiers de la comptabilité ne manquent pas, mais elles restent bien éloignées de la réalité de cet univers. Les débouchés après un diplôme en comptabilité sont, de plus, diversifiées et accessibles, pour certaines, après l’obtention d’une licence ou d’un mastère.

Finance d’entreprise et Coronavirus par Fabien Bernard

Actualité publiée le 9 juin 2020

L’ENGDE et son équipe pédagogique ont la volonté d’assouvir l’envie d’apprendre des étudiants. L’école leur donne l’opportunité de développer leurs compétences et de nouveaux challenges aux côtés d’une équipe professorale de renom.
Fabien Bernard, formateur en comptabilité, gestion et finance prend la parole sur la finance d’entreprise et la crise sanitaire. 

Pour une fois, la crise économique que nous commençons à traverser (et le voyage sera rude), n’a pas pour origine la finance de marché, comme ce fut le cas en 2008 par exemple. Il s’agit d’une crise sanitaire qui aura des conséquences sur le monde économique (baisse du commerce international, de la production, chute du pétrole, etc) et sur le monde financier (taux d’intérêt durablement bas pour faire tenter de faire repartir l’investissement, mais donne-t-on à boire à un âne qui n’a pas soif ?).

La finance d’entreprise est au cœur des mesures gouvernementales françaises, et va être utilisée dans bon nombre de pays : il s’agit de garantir les emprunts que les entreprises vont contracter auprès des banques pour pouvoir faire face à la chute de leur chiffre d’affaires. L’objectif va être de pouvoir couvrir leurs coûts fixes parfois importants (paiement de la masse salariale déjà aidé par le recours au chômage partiel, loyers, assurances, charges d’intérêt, etc). Sans ces emprunts nécessaires, les dépôts de bilan en série seraient inévitables, notamment dans les secteurs d’activité où les coûts fixes sont importants, parmi lesquels la restauration et l’hôtellerie, ayant des conséquences tragiques sur l’emploi et la consommation.

Contrairement à ce qui se dit généralement, il est souvent (et presque toujours) très intéressant d’être endetté, pour bénéficier de l’argent que l’entreprise, le particulier ou même l’Etat ne pourrait pas avoir à disposition pour investir (ou, ce qui est plus dangereux, pour consommer), et pour bénéficier du fameux effet de levier financier, qui, doublé avec un levier opérationnel, permet de gonfler la rentabilité financière d’une entreprise (stratégie qui est adoptable pas les particuliers). Mais ceci est une autre histoire, qui sera « racontée » lors de l’UE6 finance d’entreprise, enseignée en 2ème année.

Pour en savoir plus sur les formations en expertise comptable sur notre site.

Le parcours inspirant de Wahib Dahmani : Expert-comptable et intervenant à l’ENGDE

Actualité publiée le 4 juin 2020

Les études en Comptabilité et Gestion offrent de nombreuses perspectives de carrière. L’ENGDE propose un cursus en Expertise Comptable qui prépare les étudiants aux 3 diplômes qui structurent cette filière.

Le premier jalon de cette filière est le DCG (Diplôme de Comptabilité et Gestion) qui se prépare en 3 ans et délivre le grade de Licence. Ensuite les étudiants peuvent prétendre au DSCG (Diplôme Supérieur de Comptabilité et Gestion) qui confère le Grade de Master. Ces deux formations peuvent être suivi en alternance, un atout dans le parcours des étudiants.

Et le dernier jalon, mais pas des moindres le DEC (Diplôme D’expertise Comptable) qui est composé de 3 épreuves. Cet examen est réservé aux détenteurs du DSCG.

 

Tout au long de leur cursus, les étudiants sont formés et accompagnés par des experts du secteur.

Quelques questions à l’un de nos intervenants qui possède un parcours brillant et inspirant :

Wahib DAHMANI

Expert-comptable et commissaire aux comptes, cet intervenant dispose d’un cursus universitaire. Il a commencé par un DUT GEA (Gestion et Administration des Entreprises) et a poursuivi sur une Licence en Management Comptabilité et Finance. Il ne s’est pas arrêté en si bon chemin et s’est succédé un Master 1 en Comptabilité Fiscalité et Patrimoine puis un Master 2 en Comptabilité Contrôle et Audit.

Sa persévérance l’a encouragé à passer le DSCG en candidat libre durant l’année de son Master 2.

Quelques temps plus tard, il décrochera le DEC (Diplôme d’Expertise Comptable) si convoité par les professionnels du secteur.

Pouvez-vous nous parler de votre activité à présent ? 

J’ai monté mon cabinet d’expertise comptable à Paris il y a 6 mois, dans lequel j’ai accueilli 3 stagiaires de l’ENGDE. Il s’agit d’un cabinet à taille humaine, composé d’une équipe à multiples compétences. Notre objectif est d’accompagner les entreprises, quel que soit leur secteur sur la comptabilité, la fiscalité et les aspects sociaux et juridiques. Mon cabinet a une particularité : il est connecté aux nouvelles technologies. Autrement dit, nous avons la possibilité d’offrir un meilleur accès aux données avec des processus financiers optimisés.  

En parallèle, je dispense des cours dans divers établissements, et plus particulièrement en expertise comptable à l’ENGDE.

Des conseils pour réussir dans ce métier ? 

Tout d’abord, il est primordial de choisir une école dans laquelle on se sent bien, dans laquelle on pourra tisser des liens et se sentir entouré. L’expertise comptable demande beaucoup de travail, vous ne pouvez pas vous contenter du minimum. Il est nécessaire de s’ouvrir sur l’actualité de la profession, des évolutions ; mais également développer sa culture générale.

Selon-vous, quelles sont les qualités indispensables pour réussir dans l’expertise comptable ? 

Un expert-comptable qui réussit est quelqu’un d’ouvert et empathique. L’ambition est importante puisque les études sont longues et demandent beaucoup de rigueur. Il faut savoir se montrer disponible afin de répondre avec efficacité et efficience aux demandes de ses clients.

 

L’ENGDE, accessible hors Parcoursup

Actualité publiée le 27 mai 2020

Depuis plus de 50 ans l’ENGDE forme des experts de la comptabilité et de la gestion. Tout au long de leur cursus, les étudiants vont acquérir des compétences techniques et théoriques de haut niveau. Si vous souhaitez intégrer une grande école de gestion et d’expertise comptable, il est encore temps de candidater à l’ENGDE.

L’école organise tout au long de l’année des sessions de concours. Depuis le mois de mars les épreuves d’admissions se font à distance.

La procédure de candidature se fait en quelques étapes :

1) Remplissez le formulaire de candidature en ligne et sélectionnez une date de concours

2) Dès réception de vos identifiants par email, suivez les indications et connectez-vous sur l’espace MyGes.

3) Déposez l’ensemble des documents demandés :

Les relevés de notes depuis le BAC
Les photocopies des diplômes obtenus (certifiés conformes et traduits en français pour les étudiants hors U.E.)  depuis le BAC.
Une lettre de recommandation d’un professeur, d’un chef d’établissement ou d’un employeur (facultatif).
Un curriculum vitae
Une lettre de motivation
Une photo d’identité
Une photocopie de la pièce d’identité

4) Vous serez recontacté pour un entretien à distance

 

Deux cursus possibles post-bac :

Formation au DCG (Diplôme de Comptabilité et Gestion) qui est la première étape du cursus d’expertise comptable. Ce programme se déroule sur 3 ans et est composé d’une dizaine d’unités d’enseignement (UE). Au bout des trois années, l’étudiant obtient le grade de Licence (Bac+3). Sur ce programme, l’alternance est accessible dès la deuxième année.

Le Bachelor Audit, Conseil et Finance est un programme qui se déroule sur 3 ans, et délivre un diplôme reconnu par l’État (niveau 6). Tout au long du cursus, les étudiants vont acquérir la maitrise des techniques comptables, fiscales et juridiques en matière d’élaboration des états et rapports financiers.

  

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