BTS Comptabilité vs DCG : Quelle formation choisir ?

Actualité publiée le 8 juillet 2025

Si vous souhaitez faire carrière dans le domaine de la comptabilité, le choix de votre formation est crucial pour bien démarrer. Parmi les principales voies d’accès aux métiers de la comptabilité et de la gestion, on trouve le BTS Comptabilité et Gestion (BTS CG) et le Diplôme de Comptabilité et de Gestion (DCG). Ces deux formations ouvrent des portes vers des métiers différents, avec des niveaux d’études et des spécialisations variés.

Mais quelle est la différence entre ces deux formations ? Et laquelle choisir en fonction de vos aspirations professionnelles et de votre projet de carrière ? Cet article vous guidera dans le choix entre ces deux diplômes et vous aidera à comprendre leur contenu, leurs avantages et leurs perspectives professionnelles.

BTS Comptabilité et Gestion (BTS CG) : une formation courte et professionnalisante

Le BTS Comptabilité et Gestion est une formation bac+2, accessible après un bac général, technologique ou professionnel. Elle est principalement orientée vers la pratique et permet aux étudiants d’acquérir des compétences techniques directement applicables dans le monde du travail.

Les avantages du BTS Comptabilité et Gestion :

  • Durée courte : En seulement deux ans, vous êtes rapidement opérationnel sur le marché du travail. Ce cursus est idéal pour ceux qui souhaitent intégrer rapidement le monde professionnel.

  • Orientation pratique : Le BTS CG prépare avant tout à la gestion des opérations comptables, à l’analyse financière et à la gestion administrative des entreprises.

  • Alternance : Cette formation se prête parfaitement à l’alternance, permettant aux étudiants de se former tout en acquérant une expérience concrète en entreprise.

Débouchés après un BTS CG :

Les diplômés d’un BTS Comptabilité et Gestion peuvent occuper des postes dans les services comptables des entreprises, dans les cabinets d’expertise comptable ou dans la gestion des ressources humaines. Les métiers accessibles sont nombreux, notamment :

  • Comptable (en entreprise ou en cabinet)

  • Gestionnaire de paie

  • Assistant de gestion

  • Contrôleur de gestion junior

Le BTS Comptabilité et Gestion est donc une formation qui permet d’entrer rapidement dans le monde professionnel, mais qui est davantage centrée sur l’aspect opérationnel et pratique des métiers de la comptabilité.

Le DCG : Diplôme de Comptabilité et de Gestion (Bac +3) : une formation plus théorique et ouverte aux spécialisations

Le DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion) est un diplôme de niveau bac+3 qui permet d’acquérir une formation complète et approfondie en comptabilité, finance, gestion, droit des affaires et fiscalité. Contrairement au BTS, le DCG permet de se spécialiser davantage dans les aspects théoriques et stratégiques de la comptabilité et de la gestion.

Les avantages du DCG :

  • Durée plus longue mais plus complète : Le DCG dure trois ans et permet d’acquérir des connaissances plus approfondies dans des domaines variés de la comptabilité et de la gestion.

  • Plus grande polyvalence : En plus des compétences en comptabilité, les étudiants du DCG étudient le droit des affaires, la finance, la gestion des risques, et l’économie. Cette polyvalence permet aux diplômés de s’orienter vers différents secteurs et types de postes.

  • Accès à des études supérieures : Le DCG permet de poursuivre avec un DSCG (Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion) ou même un Master CCA (Comptabilité, Contrôle, Audit), pour se spécialiser encore davantage.

Débouchés après un DCG :

Le DCG ouvre la voie à des postes plus stratégiques et à plus hauts niveaux dans la comptabilité, comme :

  • Expert-comptable junior (après un DSCG et un stage professionnel)

  • Comptable en entreprise ou en cabinet

  • Contrôleur de gestion

  • Auditeur financier

  • Responsable administratif et financier

Le DCG prépare ainsi mieux à des fonctions de management ou des postes à responsabilité dans les grandes entreprises, notamment dans le secteur de l’audit et du contrôle.

Les différences clés entre le BTS Comptabilité et le DCG

Durée de la formation :

  • BTS Comptabilité et Gestion : 2 ans (niveau Bac +2)

  • DCG : 3 ans (niveau Bac +3)

Niveau de spécialisation :

  • BTS Comptabilité et Gestion : Formation plus pratique, axée sur l’exécution des tâches comptables et la gestion des finances au quotidien.

  • DCG : Formation plus théorique et approfondie, offrant une vision plus globale et stratégique de la comptabilité et de la gestion.

Débouchés professionnels :

  • BTS Comptabilité et Gestion : Permet d’accéder directement au marché du travail, principalement pour des postes opérationnels.

  • DCG : Offre des opportunités d’évolution vers des postes à responsabilité et la possibilité de poursuivre des études supérieures en comptabilité (DSCG, Master).

Objectifs professionnels :

  • BTS Comptabilité et Gestion : Idéal pour ceux qui souhaitent travailler rapidement en entreprise ou dans des cabinets, avec une approche plus terrain.

  • DCG : Convient à ceux qui veulent se spécialiser davantage dans le domaine de la comptabilité et envisager une carrière de haut niveau ou d’audit.

 

data-start= »6059″ data-end= »6576″>Pour conclure, le choix entre le BTS Comptabilité et Gestion et le DCG dépend avant tout de vos objectifs professionnels et de votre projet de carrière. Si vous souhaitez entrer rapidement dans le monde du travail avec une formation pratique et orientée vers l’opérationnel, le BTS CG est la meilleure option. En revanche, si vous êtes intéressé par une formation plus théorique, avec une polyvalence accrue et des opportunités d’évolution vers des postes à responsabilité, le DCG semble être le choix idéal.

À l’ENGDE, nous proposons les deux formations, adaptées aux besoins de chaque étudiant. Nos programmes sont conçus pour répondre aux exigences du marché du travail, avec un suivi personnalisé, des opportunités en alternance et un accès à un réseau professionnel riche. Quel que soit votre choix, l’ENGDE vous accompagne vers la réussite !

Le rôle stratégique de la gestion de la paie dans la fidélisation des talents

Actualité publiée le 1 juillet 2025

Dans un monde professionnel de plus en plus compétitif, la fidélisation des talents est devenue un défi majeur pour les entreprises. Parmi les leviers souvent sous-estimés, la gestion de la paie joue un rôle fondamental. Bien loin de se limiter à un simple acte administratif, la gestion de la paie influe directement sur la motivation, la satisfaction et l’engagement des collaborateurs. En effet, un salaire perçu comme juste, bien géré et versé de manière transparente peut significativement améliorer l’expérience des salariés et renforcer leur attachement à leur entreprise.

À l’ENGDE, école spécialisée dans les métiers de la comptabilité et des ressources humaines, nous formons nos étudiants à cette fonction stratégique, essentielle à la fois pour la gestion des talents et la performance des entreprises. Cet article explore comment une gestion de la paie efficace peut devenir un puissant outil de fidélisation des talents.

La gestion de la paie au service de la performance d'entreprise

Une rémunération juste : la base de la fidélisation des talents

La transparence et l’équité sont des éléments fondamentaux pour établir une relation de confiance avec les salariés. Une gestion de la paie juste, respectant les droits des employés et se basant sur des critères objectifs et transparents, est cruciale pour la satisfaction des collaborateurs. Les salariés qui perçoivent leur rémunération comme équitable et alignée avec leur contribution sont plus enclins à rester au sein de l’entreprise.

L’ENGDE forme ses étudiants à appliquer les bonnes pratiques en matière de rémunération, en veillant à ce que les bulletins de paie soient clairs, compréhensibles et sans erreur. Les étudiants apprennent à appliquer les dernières législations sociales et à utiliser des outils professionnels pour garantir une gestion de la paie irréprochable. Une rémunération perçue comme juste et transparente est un levier essentiel pour instaurer un climat de confiance et renforcer la fidélisation des talents à long terme.

Une paie fiable et régulière : clé de la rétention des talents

Un autre aspect crucial de la gestion de la paie est la régularité des paiements. Les retards de salaire ou les erreurs dans les calculs peuvent entraîner de grandes frustrations et nuire à la relation entre l’entreprise et ses salariés. À l’inverse, une gestion de la paie fluide et ponctuelle permet aux salariés de se concentrer sur leur travail en toute sérénité.

L’ENGDE enseigne à ses étudiants à maîtriser les outils de gestion de la paie (comme Silae ou Sage), pour garantir la fiabilité et la ponctualité des paiements. Cette rigueur administrative est perçue par les collaborateurs comme un signe de respect, renforçant leur satisfaction au travail et leur attachement à l’entreprise. Une paie versée en temps et en heure est donc un élément crucial dans la rétention des talents.

Les avantages sociaux : un facteur de fidélisation supplémentaire

Au-delà du salaire de base, les avantages sociaux jouent un rôle important dans la fidélisation des talents. Primes, chèques-repas, intéressement, participation, ou encore autres avantages en nature sont autant de moyens pour l’entreprise de reconnaître et valoriser la contribution des salariés.

Les étudiants de l’ENGDE sont formés à l’intégration des avantages sociaux dans la gestion de la paie, leur permettant d’offrir des solutions de rémunération globale adaptées aux attentes des salariés. En intégrant ces avantages dans la paie de manière transparente et bien communiquée, les entreprises peuvent améliorer considérablement leur attractivité et fidéliser leurs collaborateurs.

La gestion de la paie comme facteur d’expérience employé

L’expérience employé se définit par l’ensemble des interactions qu’un salarié a avec son entreprise tout au long de son parcours. La gestion de la paie est un élément central de cette expérience. Une gestion fluide et sans heurts contribue à une expérience positive, renforçant ainsi l’attachement des salariés à l’entreprise.

L’ENGDE prépare ses étudiants à gérer la paie non seulement sous un angle technique, mais aussi stratégique. Les futurs gestionnaires de paie apprennent à mettre en place des processus RH efficaces, contribuant ainsi à la satisfaction des salariés. Une gestion de la paie harmonieuse et respectueuse des besoins des employés participe à la construction d’une culture d’entreprise positive et motivée.

 

Finalement, la gestion de la paie est bien plus qu’un simple processus administratif. Lorsqu’elle est bien réalisée, elle devient un levier stratégique puissant pour fidéliser les talents. Un salaire juste, des paiements réguliers, des avantages sociaux bien gérés et une communication claire renforcent la satisfaction et l’engagement des collaborateurs, contribuant ainsi à la réduction du turnover et à l’amélioration de la culture d’entreprise.

À l’ENGDE, nous formons nos étudiants à la gestion de la paie sous toutes ses facettes, afin qu’ils deviennent des experts RH capables de mettre en place des pratiques efficaces et stratégiques dans les entreprises. La gestion de la paie, en plus d’être un métier essentiel, est un outil de fidélisation incontournable dans un monde professionnel en constante évolution.

 

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Pourquoi choisir une école de comptabilité en alternance ?

Actualité publiée le

Faire le choix d’une école de comptabilité est une décision déterminante pour son avenir professionnel. Mais une question revient souvent : faut-il opter pour la voie classique ou se tourner vers l’alternance ? Aujourd’hui, de plus en plus d’étudiants font le pari de l’alternance, notamment dans des écoles spécialisées comme l’ENGDE. Et pour cause : apprendre un métier tout en étant en entreprise, se former sur le terrain, gagner en autonomie, en expérience et en professionnalisme… les bénéfices sont nombreux.

Dans cet article, découvrez pourquoi l’alternance s’impose comme un choix stratégique, surtout dans le domaine exigeant de la comptabilité.

Pourquoi faire une alternance en finance ? - ESCE

Un pied dans l’école, un pied dans l’entreprise

L’un des principaux atouts de l’alternance, c’est la possibilité de se former en situation réelle. Les connaissances acquises en cours trouvent un écho immédiat dans l’entreprise. Loin d’être théorique, l’apprentissage devient concret.

À l’ENGDE, les étudiants en alternance peuvent ainsi :

  • Appliquer leurs compétences en comptabilité générale, fiscalité ou droit des sociétés directement sur des dossiers clients,

  • Se familiariser avec des logiciels professionnels,

  • Gagner en rigueur et en méthodologie.

Cette immersion progressive permet de mieux comprendre les enjeux du métier et d’éviter le choc du premier emploi une fois diplômé.

Une insertion professionnelle accélérée

Choisir une école de comptabilité en alternance, c’est aussi maximiser ses chances d’insertion à la sortie du diplôme. Selon le Ministère du Travail, plus de 70 % des alternants trouvent un emploi dans les 6 mois suivant la fin de leur formation. Dans un secteur aussi technique que la comptabilité, avoir déjà plusieurs années d’expérience professionnelle est un avantage concurrentiel indéniable.

Les recruteurs sont de plus en plus attentifs à ce critère :

« Un jeune diplômé avec deux ans d’alternance est souvent plus opérationnel qu’un profil issu d’un cursus 100 % scolaire », témoigne un expert-comptable partenaire de l’ENGDE.

Une montée en compétences sur-mesure

Autre avantage de taille : l’alternance permet de développer des compétences techniques, mais aussi des soft skills très recherchées par les employeurs. Travailler en entreprise, c’est apprendre à :

  • Communiquer avec différents interlocuteurs,

  • Gérer les délais et les imprévus,

  • Prendre des responsabilités progressivement.

À l’ENGDE, le suivi pédagogique est renforcé. Chaque alternant est accompagné par un référent école et un tuteur en entreprise, pour garantir la bonne articulation entre les apprentissages théoriques et les missions confiées. Résultat : les étudiants gagnent en maturité, en confiance, et deviennent de véritables acteurs de leur parcours.

Un financement avantageux

Choisir l’alternance, c’est aussi faire un choix économiquement intelligent. Les frais de scolarité sont entièrement pris en charge par l’entreprise d’accueil, et l’étudiant perçoit une rémunération mensuelle. Cette rémunération évolue selon l’âge et l’année de formation, mais elle représente une aide précieuse pour gagner en indépendance.

Pour beaucoup, c’est un moyen concret de poursuivre des études ambitieuses sans pression financière, tout en valorisant leur CV.

L’ENGDE : l’expertise comptable en alternance

L’ENGDE est une référence dans le domaine de la comptabilité, de l’audit et du contrôle de gestion. Dès le DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion), puis tout au long du DSCG (Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion), l’école propose des formations 100 % accessibles en alternance.

Les intervenants sont des professionnels en activité, les cours sont adaptés aux réalités du terrain, et les partenariats avec les cabinets, entreprises et experts-comptables sont nombreux.

Chaque année, des centaines d’étudiants construisent leur avenir professionnel grâce à l’ENGDE et à l’alternance.

 

Finalement, opter pour une école de comptabilité en alternance, c’est faire le choix d’une formation professionnalisante, engagée, et tournée vers l’avenir. C’est apprendre en faisant, tout en se construisant un réseau solide et en validant un diplôme reconnu.

À l’ENGDE, nous croyons fermement que la réussite passe par l’expérience. C’est pourquoi nous accompagnons chaque étudiant vers un parcours d’excellence, au plus proche des attentes du marché du travail.

 

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Comment les cabinets recrutent aujourd’hui ? 3 tendances à connaître

Actualité publiée le 23 juin 2025

Le monde du travail évolue, et le secteur de l’expertise comptable n’échappe pas à la règle. Alors que les enjeux de transformation numérique, d’attractivité des talents et de fidélisation s’intensifient, les cabinets doivent adapter leurs méthodes de recrutement. Pour les étudiants en comptabilité et gestion, comprendre ces nouveaux codes est essentiel pour réussir leur insertion professionnelle.

Fini le schéma classique du CV papier et de l’entretien en présentiel. Les cabinets recherchent aujourd’hui des profils opérationnels, curieux, connectés, capables de s’adapter à des environnements en perpétuelle évolution. À l’ENGDE, école de référence en comptabilité, ces mutations sont intégrées dès la formation, afin de permettre à nos étudiants d’être parfaitement en phase avec les attentes des recruteurs. Voici les trois grandes tendances qui redéfinissent aujourd’hui le recrutement en cabinet.

Top 3 des cabinets de recrutement à Rennes – My sweetie Box

Le digital au cœur du recrutement

La première tendance forte, c’est la digitalisation des processus de recrutement. Depuis quelques années, les cabinets investissent massivement dans des outils numériques pour repenser leurs méthodes de sélection. Objectif : gagner du temps, cibler plus efficacement les bons profils, et offrir une meilleure expérience candidat.

Les candidatures se font désormais majoritairement via des plateformes spécialisées, les CV sont filtrés par des outils automatisés, et les premiers entretiens se déroulent souvent en visio. Certains cabinets vont même plus loin en intégrant des tests de personnalité en ligne, des cas pratiques digitalisés ou encore des solutions d’évaluation des soft skills.

Pour les étudiants, cela implique d’être à l’aise avec les outils numériques, de soigner leur présence en ligne (notamment sur LinkedIn), et de se préparer à des entretiens à distance. L’aisance technologique est devenue un véritable critère de sélection, au même titre que la maîtrise des fondamentaux comptables.

Les cabinets recherchent des profils curieux, adaptables et humains

Deuxième tendance : l’évolution des critères de sélection. Les recruteurs ne se contentent plus d’un bon niveau académique ou d’une solide maîtrise technique. Aujourd’hui, ils veulent des collaborateurs capables d’évoluer dans un environnement complexe, mouvant, et en lien avec les clients.

Cela signifie que les soft skills sont de plus en plus valorisées :

  • Capacité d’adaptation,

  • Sens du relationnel,

  • Goût pour l’apprentissage continu,

  • Rigueur mais aussi sens de l’initiative.

Dans un cabinet, on ne fait pas que de la comptabilité : on accompagne des entreprises, on résout des problématiques, on anticipe les évolutions réglementaires. Il est donc essentiel de faire preuve de curiosité, de proactivité et de polyvalence.

À l’ENGDE, les mises en situation, les projets de groupe, les séminaires thématiques et l’intervention de professionnels du secteur permettent de développer ces compétences humaines essentielles à l’employabilité.

L’alternance, un canal de recrutement stratégique

Enfin, la troisième grande tendance, c’est la montée en puissance de l’alternance comme canal privilégié de recrutement. De nombreux cabinets, quelle que soit leur taille, misent sur l’alternance pour former et recruter leurs futurs collaborateurs.

Pourquoi ce choix ? Parce que l’alternance permet :

  • D’évaluer un profil sur la durée,

  • De transmettre les valeurs et les méthodes du cabinet,

  • De fidéliser des jeunes talents et réduire le turnover,

  • De répondre à des besoins opérationnels immédiats.

Pour les étudiants, c’est un vrai tremplin. L’alternance permet de développer des compétences concrètes, de construire un réseau professionnel et, dans la majorité des cas, de décrocher un CDI à l’issue de la formation.

L’ENGDE propose toutes ses formations en alternance dès la première année, avec un accompagnement sur mesure pour aider chaque étudiant à trouver une entreprise partenaire. Ce modèle favorise l’employabilité et anticipe les réalités du marché du travail.

 

Le recrutement en cabinet ne cesse d’évoluer, porté par la transformation numérique, les nouvelles attentes des jeunes diplômés et les enjeux de compétitivité du secteur. Pour réussir, il ne suffit plus de maîtriser les chiffres : il faut savoir se présenter, se démarquer, s’adapter et incarner les valeurs attendues par les recruteurs.

À l’ENGDE, nous croyons que la réussite passe par une formation professionnalisante, fondée sur l’excellence académique, l’ouverture au monde professionnel et un accompagnement humain. Nos étudiants sont préparés à répondre à ces nouvelles exigences, pour devenir les experts de demain.

 

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5 métiers de la comptabilité qui recrutent en ce moment

Actualité publiée le 10 juin 2025

Dans un contexte économique en perpétuelle évolution, le secteur de la comptabilité reste une valeur sûre sur le marché de l’emploi. Face aux besoins croissants des entreprises en matière de gestion financière, de conformité réglementaire et de conseil stratégique, les profils comptables qualifiés sont toujours très recherchés. Les opportunités d’emploi sont nombreuses, que ce soit en cabinet d’expertise comptable, en entreprise, dans les groupes internationaux ou même au sein de start-up. Voici un zoom sur cinq métiers de la comptabilité qui recrutent activement en ce moment.

Finance & comptabilité : TOP 5 des métiers qui recrutent | Page Personnel

Comptable général

Le métier de comptable général reste un pilier fondamental de la fonction comptable en entreprise. Chargé de l’enregistrement des opérations courantes (factures, écritures bancaires, rapprochements), du suivi des immobilisations, de la préparation des bilans et des déclarations fiscales, le comptable général est un acteur clé du cycle comptable.

Pourquoi ce métier recrute ?
Avec les évolutions réglementaires (facturation électronique, dématérialisation des procédures), les entreprises cherchent à renforcer leurs équipes de comptables polyvalents capables de s’adapter rapidement. Ce métier reste donc très demandé, aussi bien en PME qu’au sein de grands groupes.

Gestionnaire de paie

Le gestionnaire de paie est aujourd’hui un profil en tension. Son rôle ? Assurer l’établissement des bulletins de paie, le calcul des cotisations sociales, la gestion administrative du personnel et le respect de la législation du travail.

Pourquoi ce métier recrute ?
Les règles en matière de paie évoluent constamment : réformes sociales, nouvelles conventions collectives, DSN… Les entreprises ont besoin de spécialistes capables de garantir une paie conforme et sécurisée. Le gestionnaire de paie allie compétences techniques et rigueur juridique, un atout très recherché.

Contrôleur de gestion

Le contrôleur de gestion intervient pour aider l’entreprise à piloter sa performance. Il analyse les coûts, établit les budgets prévisionnels, contrôle les écarts et produit des reportings réguliers à destination de la direction.

Pourquoi ce métier recrute ?
Dans un environnement marqué par la recherche de rentabilité et d’optimisation des ressources, le contrôle de gestion devient un levier stratégique. Les entreprises recherchent des profils capables d’apporter une vision fine des indicateurs financiers pour éclairer les décisions. Par ailleurs, les compétences en data et en outils de BI (Business Intelligence) sont de plus en plus valorisées dans ce métier.

Auditeur financier

L’auditeur financier a pour mission de vérifier la sincérité et la conformité des états financiers d’une entreprise. Travaillant généralement pour un cabinet d’audit ou de conseil, il intervient en mission ponctuelle pour certifier les comptes.

Pourquoi ce métier recrute ?
La réglementation impose aux entreprises de plus en plus de transparence financière, en particulier pour les sociétés cotées ou de taille importante. Le besoin de profils spécialisés en audit est donc croissant. Ce métier, très formateur, attire aussi les jeunes diplômés souhaitant acquérir une vision globale de la comptabilité et du fonctionnement des entreprises.

Expert-comptable

Enfin, le métier d’expert-comptable reste un incontournable. Ce professionnel du chiffre accompagne les entreprises dans la gestion de leurs obligations comptables, fiscales et sociales, tout en jouant un rôle de conseil sur le plan juridique et financier.

Pourquoi ce métier recrute ?
Les experts-comptables sont de véritables partenaires stratégiques pour les dirigeants, notamment en période d’incertitude économique. Les cabinets doivent faire face à une demande croissante, tant de la part des PME que des start-up ou des professions libérales. En parallèle, le renouvellement générationnel pousse la profession à recruter massivement pour anticiper les départs à la retraite.

 

Pour conclure, le secteur de la comptabilité offre aujourd’hui de belles perspectives professionnelles, avec des métiers en pleine transformation. Digitalisation, automatisation, réglementation complexe : autant de défis qui nécessitent des profils toujours plus qualifiés et agiles. Que l’on s’oriente vers la paie, le contrôle de gestion, l’audit ou l’expertise comptable, les opportunités sont nombreuses et les besoins en recrutement bien réels. Une excellente nouvelle pour les étudiants de l’ENGDE qui se forment à ces métiers d’avenir !

 

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Les erreurs comptables fréquentes chez les jeunes entrepreneurs et comment les éviter

Actualité publiée le 3 juin 2025

Se lancer dans l’aventure entrepreneuriale est un défi enthousiasmant, synonyme de liberté, de créativité et d’autonomie. Pourtant, derrière cette dynamique se cache une réalité incontournable : la gestion comptable et financière, souvent perçue comme complexe et rébarbative. Pour beaucoup de jeunes entrepreneurs, les erreurs comptables constituent un piège fréquent qui peut mettre en péril la pérennité de leur entreprise. Une mauvaise tenue des comptes, des déclarations erronées ou une méconnaissance des obligations fiscales peuvent rapidement entraîner des sanctions, des pertes financières, voire la faillite. Pourtant, ces erreurs sont évitables avec un minimum de rigueur, de formation et d’accompagnement. Cet article vous propose de passer en revue les erreurs comptables les plus courantes chez les jeunes entrepreneurs, tout en offrant des conseils pratiques pour les éviter et assurer une gestion saine de votre entreprise dès ses premiers pas.

10 erreurs les plus courantes des jeunes entrepreneurs | Audavia Formation

 

Les erreurs comptables les plus fréquentes

La première erreur à laquelle se confrontent souvent les jeunes entrepreneurs est la négligence de la tenue régulière des comptes. Par méconnaissance ou par manque de temps, beaucoup attendent la fin de l’exercice pour faire leur comptabilité, ce qui complique le suivi des dépenses et recettes et nuit à la visibilité financière. Cette attitude peut provoquer des oublis, des erreurs de calcul ou des retards dans les déclarations fiscales, augmentant les risques d’erreurs et de pénalités. Autre erreur classique : la confusion entre les dépenses personnelles et professionnelles. Sans distinction claire, il devient difficile d’établir un bilan fiable et les contrôles fiscaux peuvent s’avérer compliqués. En parallèle, certains entrepreneurs sous-estiment ou ignorent leurs obligations fiscales et sociales, comme la déclaration de TVA ou le paiement des cotisations, ce qui peut entraîner des redressements coûteux. À cela s’ajoute le non-respect des règles de conservation des justificatifs : factures, contrats ou relevés bancaires doivent être conservés soigneusement sous peine d’impayés ou d’impossibilité de déductions fiscales. Enfin, le manque de prévision et de suivi de trésorerie représente une faiblesse majeure : sans planification des flux financiers, l’entreprise risque de connaître des difficultés à honorer ses engagements, ce qui peut compromettre sa survie.

Les conséquences de ces erreurs sur la santé de l’entreprise

Ces erreurs comptables ne sont pas sans conséquences. Une comptabilité mal tenue empêche d’avoir une vision claire de la situation financière, rendant difficile la prise de décisions stratégiques éclairées. Les retards ou erreurs dans les déclarations fiscales peuvent entraîner des pénalités, des majorations voire des contrôles fiscaux. La confusion entre dépenses personnelles et professionnelles peut compliquer la justification des charges et créer des difficultés lors d’un audit ou d’un contrôle. De plus, ne pas suivre sa trésorerie expose l’entreprise à des ruptures de paiement, des impayés fournisseurs ou des difficultés à investir dans son développement. Le choix inadapté du statut juridique ou du régime fiscal peut, lui aussi, augmenter les coûts et complexifier la gestion quotidienne. Toutes ces erreurs cumulées mettent en danger la pérennité du projet entrepreneurial et peuvent rapidement décourager les jeunes créateurs d’entreprise.

Comment éviter ces erreurs et assurer une bonne gestion comptable

Pour sécuriser la gestion comptable de son entreprise, plusieurs bonnes pratiques s’imposent. D’abord, il est crucial de tenir ses comptes régulièrement, idéalement avec l’aide de logiciels adaptés qui simplifient le suivi des factures, des dépenses et des recettes. Il est aussi indispensable d’ouvrir un compte bancaire professionnel distinct afin de séparer clairement les flux personnels et professionnels. La formation est un autre levier majeur : acquérir les bases de la comptabilité, comprendre ses obligations fiscales et sociales, et savoir lire ses comptes permet d’éviter de nombreuses erreurs. Recourir à un expert-comptable dès la création est souvent un investissement rentable, car il offre un accompagnement personnalisé et garantit la conformité des documents. Par ailleurs, la planification et le suivi régulier de la trésorerie permettent d’anticiper les tensions financières et de mieux gérer les périodes difficiles. Enfin, prendre le temps de bien choisir son statut juridique et son régime fiscal en fonction de son activité et de ses objectifs facilite la gestion administrative et optimise les charges.

Pour conclure, les erreurs comptables chez les jeunes entrepreneurs sont malheureusement fréquentes, mais loin d’être une fatalité. Avec de la rigueur, une bonne organisation, une formation adaptée, et un accompagnement professionnel, il est tout à fait possible de les éviter. Comprendre les enjeux de la comptabilité et de la gestion dès la création de son entreprise est un atout majeur pour sécuriser son projet entrepreneurial et favoriser son développement. À l’ENGDE, nous formons les futurs entrepreneurs à ces bonnes pratiques essentielles afin qu’ils puissent se concentrer sur leur cœur de métier, avec la certitude d’une gestion saine et maîtrisée. Parce que réussir en business, c’est aussi savoir bien gérer ses chiffres !

 

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Un parcours complet en comptabilité alliant rigueur, alternance et esprit entrepreneurial

Actualité publiée le 28 mai 2025

Dans un univers professionnel en constante évolution, où la formation théorique doit impérativement s’allier à la pratique, le parcours de Karim El Sanee illustre parfaitement cette dynamique. Ancien étudiant de l’ENGDE, Karim a suivi l’intégralité du cursus comptable du BTS au DEC en alternance. Son expérience met en lumière l’importance d’une formation professionnelle progressive, combinée à la persévérance et à une organisation rigoureuse pour réussir dans le domaine de l’expertise comptable.

Un parcours académique riche d’expériences professionnelles

Avant de créer son propre cabinet, Karim a d’abord fait ses armes dans différents secteurs grâce à l’alternance. Il a débuté dans une société japonaise, poursuivi dans une entreprise allemande spécialisée dans la machine-outil, puis achevé son DSCG en alternance au sein d’un fonds de capital-investissement rattaché au groupe Edmond de Rothschild.

« L’alternance m’a offert un véritable bagage professionnel avant même de débuter sur le marché du travail, » explique Karim. « Elle permet d’acquérir une expérience concrète, immédiatement valorisable dans la suite du parcours. »

Les défis du DSCG en format accéléré

Karim a eu l’opportunité de suivre le DSCG en deux ans au lieu de trois, un format plus intense qui demande une excellente organisation. Il souligne la nécessité de répartir la charge de travail pour gérer à la fois rapports de stage, mémoires et révisions.

« La principale difficulté était de bien gérer mon temps, » confie-t-il. « Mais étant quelqu’un d’impatient, je voulais avancer rapidement pour pouvoir lancer mon cabinet. »

Une réussite marquée par l’excellence académique

Sa détermination a porté ses fruits puisque Karim a obtenu une excellente note à l’examen du DEC, décrochant un 18 sur 20 à la session de novembre 2022, la meilleure note de cette session.

« Le DEC prépare vraiment à l’exercice de la profession, avec une part importante donnée à la déontologie, au mémoire et à la révision, » souligne-t-il. « Il donne les clés pour devenir un véritable professionnel capable de conseiller au mieux ses clients. »

La création d’un cabinet avec un ancien camarade

L’un des moments-clés de son parcours a été la rencontre avec son associé, un ancien camarade de l’ENGDE, avec qui il a cofondé le cabinet Mika Conseil. Ce partenariat, fondé sur une forte complicité et une complémentarité professionnelle, a permis au cabinet de se développer rapidement avec une équipe solide et une clientèle en croissance.

« Aujourd’hui, nous accueillons environ une dizaine de nouveaux clients par mois, ce qui est très encourageant pour un cabinet en développement, » se réjouit Karim.

Un métier en évolution grâce à l’intelligence artificielle

Karim détaille aussi les quatre grandes missions de l’expert-comptable : la revue et le contrôle des dossiers, le management des équipes, le conseil aux clients, et le volet commercial.

« L’intelligence artificielle transforme déjà notre métier, » explique-t-il. « La production est de plus en plus automatisée, ce qui nous laisse davantage de temps pour développer une relation de conseil approfondie et personnalisée avec nos clients. »

Un message de motivation pour les futurs experts-comptables

À ceux qui souhaitent suivre ce parcours, Karim livre un message clair : motivation, détermination et persévérance sont indispensables.

« Il n’y a pas de profil type pour devenir expert-comptable, » insiste-t-il. « Moi-même, issu d’un milieu modeste, j’ai pu réussir grâce à ma volonté. Les obstacles font partie du chemin, mais il faut toujours avancer. »

 

Le témoignage de Karim Melsane incarne parfaitement l’alliance entre la formation rigoureuse dispensée à l’ENGDE, la richesse de l’alternance, et la réussite entrepreneuriale. Son parcours inspire ceux qui souhaitent se lancer dans la comptabilité, tout en soulignant les évolutions futures du métier portées par la technologie.

 

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La blockchain et l’IA : une alliance pour la comptabilité de demain

Actualité publiée le 21 mai 2025

L’intelligence artificielle (IA) et la blockchain, deux technologies de pointe, sont en train de redéfinir les processus comptables à l’échelle mondiale. Bien que ces technologies soient puissantes chacune de leur côté, leur combinaison offre des perspectives révolutionnaires pour la comptabilité, notamment en matière de sécurité, de transparence et d’efficacité. Cet article explore l’impact de l’IA et de la blockchain sur le domaine de la comptabilité, ainsi que les synergies possibles entre ces deux innovations.

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La blockchain : une révolution pour la transparence des données comptables

La blockchain est une technologie de registre distribué qui permet de stocker des données de manière décentralisée et infalsifiable. Dans le cadre de la comptabilité, la blockchain offre un moyen sécurisé et transparent de suivre toutes les transactions financières. Chaque transaction est enregistrée sous forme de bloc, relié de manière cryptographique aux autres blocs, garantissant ainsi l’intégrité des informations.

Les avantages de la blockchain pour la comptabilité incluent :

  • Sécurité accrue : L’information stockée dans une blockchain ne peut être modifiée une fois qu’elle y est inscrite, ce qui élimine le risque de falsification des données comptables.

  • Transparence : Tous les acteurs du processus comptable peuvent accéder à une version identique des transactions, réduisant ainsi le risque de fraude ou de manipulation des chiffres.

  • Réduction des coûts de vérification : La décentralisation du registre élimine la nécessité pour les auditeurs de vérifier chaque transaction manuellement.

L’IA dans la comptabilité : une transformation des processus financiers

L’intelligence artificielle a fait son entrée dans le monde de la comptabilité en automatisant une grande partie des tâches manuelles, telles que la saisie de données, la réconciliation bancaire et l’analyse des transactions. Grâce à l’apprentissage machine et aux algorithmes avancés, l’IA permet d’analyser des volumes massifs de données à une vitesse bien supérieure à celle des humains.

Les applications de l’IA dans la comptabilité incluent :

  • Automatisation des tâches répétitives : L’IA est capable d’automatiser des processus comme la saisie de factures ou la génération de rapports financiers, ce qui libère du temps pour les comptables et réduit les risques d’erreurs humaines.

  • Analyse prédictive : L’IA peut analyser les tendances passées pour prédire les besoins futurs en matière de gestion de trésorerie, de flux financiers et d’investissements.

  • Détection des anomalies : L’IA peut identifier des incohérences dans les données comptables qui pourraient indiquer des fraudes ou des erreurs, aidant ainsi les entreprises à réagir rapidement.

Synergies entre l’IA et la blockchain dans la comptabilité

Bien que chacune de ces technologies offre des avantages significatifs, c’est la combinaison de la blockchain et de l’IA qui offre un potentiel encore plus grand. Voici quelques exemples de synergies possibles :

  • Vérification automatisée des transactions : L’IA pourrait être utilisée pour valider les transactions en temps réel et détecter toute anomalie avant qu’une entrée ne soit enregistrée dans la blockchain. Cela permettrait une vérification automatisée et instantanée des informations financières.

  • Amélioration de la sécurité et de l’intégrité des données : L’IA pourrait analyser les chaînes de blocs pour détecter des schémas inhabituels ou des tentatives de fraude, ce qui renforcerait la sécurité des transactions enregistrées sur la blockchain.

  • Optimisation des audits : Les auditeurs pourraient utiliser des outils d’IA pour analyser les données stockées sur la blockchain et générer des rapports automatisés, rendant le processus d’audit plus rapide, plus précis et moins coûteux.

Les défis à relever pour une adoption généralisée

Malgré leurs nombreux avantages, l’adoption conjointe de la blockchain et de l’IA dans la comptabilité présente encore plusieurs défis :

  • Complexité technologique : L’intégration de ces deux technologies dans les systèmes comptables existants peut s’avérer complexe et nécessite des investissements considérables en infrastructure.

  • Réglementation et conformité : L’utilisation de la blockchain dans la comptabilité soulève des questions sur la réglementation des données financières et la protection de la vie privée, notamment en ce qui concerne les transactions transfrontalières.

  • Compétences et formation : Les professionnels de la comptabilité devront acquérir de nouvelles compétences pour travailler avec ces technologies, ce qui nécessitera une formation continue et une adaptation des programmes éducatifs.

     

    Pour conclure, l’IA et la blockchain, bien qu’encore en phase de déploiement dans le secteur de la comptabilité, représentent l’avenir de la profession. La combinaison de la sécurité immuable de la blockchain et de l’efficacité de l’IA promet de transformer la gestion des finances, de la comptabilité et des audits. Toutefois, pour en tirer pleinement parti, il est essentiel de surmonter les défis techniques et réglementaires. À mesure que ces technologies mûrissent, les entreprises qui sauront les adopter auront un net avantage concurrentiel en matière de sécurité, de transparence et de gestion financière efficace.

     

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L’avenir du management financier et des ressources humaines dans les entreprises

Actualité publiée le 14 mai 2025

Dans un contexte économique en constante évolution, les entreprises sont confrontées à des défis multiples : gestion de la performance financière, adaptation aux nouvelles technologies, gestion du capital humain et évolution des attentes des salariés. Le management financier et des ressources humaines (RH) joue un rôle crucial dans cette dynamique, en apportant des solutions pour maximiser l’efficacité, l’innovation et la compétitivité des organisations. Alors que les métiers du secteur évoluent rapidement, les compétences et les stratégies des managers financiers et des responsables RH doivent s’adapter à de nouvelles réalités économiques et sociétales. Cet article explore les tendances actuelles et les perspectives d’avenir pour le management financier et des ressources humaines dans les entreprises.

Maîtriser l'essentiel de la gestion comptable, financière, fiscale et administrative de son entreprise

Le management financier : entre digitalisation et agilité

Le rôle du management financier a considérablement évolué ces dernières années. Traditionnellement centré sur la gestion des comptes, la planification financière et l’analyse des risques, il doit désormais intégrer une approche plus stratégique. L’essor des nouvelles technologies a profondément modifié les outils à disposition des responsables financiers, avec l’intégration de solutions numériques permettant une gestion plus fluide et une prise de décision en temps réel.

La digitalisation est l’un des principaux moteurs de cette transformation. Les entreprises se tournent de plus en plus vers l’automatisation des processus financiers, ce qui leur permet de réduire les erreurs humaines et d’améliorer la transparence. Les logiciels de gestion financière, les solutions de business intelligence (BI), et l’intelligence artificielle permettent d’analyser des volumes de données de plus en plus importants, facilitant ainsi la prise de décision et l’anticipation des besoins futurs. Cette transformation numérique impose aux responsables financiers de maîtriser de nouveaux outils et d’avoir une vision stratégique de leur gestion, bien au-delà des bilans comptables.

Parallèlement, le rôle de manager financier se trouve renforcé par l’obligation d’être plus agile. Dans un environnement marqué par des incertitudes économiques (comme les crises économiques mondiales ou les fluctuations des marchés financiers), les entreprises doivent pouvoir ajuster rapidement leurs stratégies. Ainsi, la flexibilité devient une compétence clé pour les responsables financiers, qui doivent constamment adapter les budgets, optimiser les ressources et maximiser la rentabilité tout en répondant à des exigences de conformité accrues.

Les ressources humaines : un rôle stratégique dans l’entreprise de demain

Le secteur des ressources humaines a également évolué sous l’impulsion de la digitalisation, mais aussi des changements sociaux et culturels. Si le recrutement, la gestion des compétences et la gestion des carrières restent les piliers du management RH, ces fonctions doivent désormais prendre en compte de nouveaux enjeux. L’un des défis majeurs consiste à répondre aux attentes des salariés, de plus en plus exigeants en matière de qualité de vie au travail, de flexibilité et de sens au travail. Le bien-être des employés est devenu une priorité, et les responsables RH sont désormais des acteurs clés dans la conception de stratégies qui favorisent un environnement de travail agréable et performant.

L’un des enjeux majeurs du management des ressources humaines de demain sera de réussir à attirer et à fidéliser les talents dans un marché du travail de plus en plus compétitif. Cela implique non seulement de proposer des conditions de travail attrayantes, mais aussi de répondre aux besoins d’évolution des compétences. L’évolution des métiers, notamment en raison de la transformation numérique, requiert une gestion proactive des compétences et des carrières. De plus, la montée en puissance du télétravail et des environnements hybrides, accélérée par la pandémie de COVID-19, oblige les responsables RH à réinventer les modes de travail. Les nouvelles technologies permettent également de faciliter la gestion des ressources humaines, avec l’adoption de plateformes collaboratives et de systèmes d’information RH plus sophistiqués.

Parallèlement, le management RH doit répondre à une pression croissante sur la responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Les salariés, en particulier les jeunes générations, exigent que leurs employeurs s’engagent activement en matière de développement durable, de diversité et d’inclusion. De ce fait, les responsables RH deviennent des acteurs du changement, en intégrant des pratiques RSE dans la gestion des talents et en veillant à une cohésion interne autour des valeurs de l’entreprise.

Une collaboration renforcée pour une gestion optimale

L’avenir du management financier et des ressources humaines dans les entreprises réside dans la collaboration renforcée entre ces deux fonctions. Si traditionnellement distinctes, les deux sphères se rejoignent de plus en plus pour répondre aux défis stratégiques des organisations. Le management des ressources humaines doit désormais intégrer des données financières pour mieux comprendre les enjeux économiques des entreprises. À l’inverse, les responsables financiers doivent prendre en compte l’importance du capital humain dans la rentabilité de l’entreprise.

Cette collaboration est essentielle pour la mise en place de stratégies de gestion des coûts, d’optimisation des investissements et de gestion des talents. Par exemple, une meilleure gestion des ressources humaines permet d’optimiser les performances des employés, ce qui contribue directement à la rentabilité de l’entreprise. De même, des investissements dans la formation et le développement des talents peuvent se traduire par des gains de productivité et des avantages compétitifs durables.

 

Pour conclure, l’avenir du management financier et des ressources humaines repose sur une capacité d’adaptation aux transformations digitales et aux attentes des salariés. Ces fonctions doivent évoluer pour devenir des moteurs de la stratégie et du développement des entreprises. Si les défis sont nombreux, les opportunités sont également vastes pour ceux qui sauront innover et collaborer efficacement. La gestion stratégique des finances et des talents deviendra un facteur clé de succès dans un monde professionnel où la flexibilité, la technologie et la responsabilité sociétale seront au cœur de la performance des entreprises. Les managers de demain devront ainsi conjuguer expertise financière, leadership humain et vision stratégique pour répondre aux enjeux économiques et sociétaux de l’entreprise de demain.

 

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Le parcours d’Ingrid : Une deuxième année de DCG à l’ENGDE entre défis et ambition professionnelle

Actualité publiée le 7 mai 2025

Dans un environnement éducatif où la rigueur académique se mêle à la préparation au monde professionnel, l’ENGDE se distingue par son programme structuré et sa capacité à répondre aux défis des étudiants. Ingrid, étudiante en deuxième année de DCG à l’ENGDE, est un exemple de cette approche alliant théorie et pratique. Son parcours, ses choix de matières et ses objectifs professionnels montrent l’importance de l’alternance et de la persévérance dans la construction d’une carrière dans le domaine de la comptabilité et du droit.

Un parcours académique motivé par la proximité et la rigueur

Avant de rejoindre l’ENGDE, Ingrid a choisi de poursuivre ses études en DCG, attirée par la proximité de l’école avec son domicile. Cette décision lui a permis de concilier études et vie personnelle, tout en poursuivant un projet professionnel ambitieux dans le domaine de la comptabilité.

« Ce qui m’a motivée à poursuivre mes études en DCG à l’ENGDE est la proximité avec mon domicile. Cela me permet de me concentrer pleinement sur mes études tout en ayant un équilibre avec ma vie privée », explique Ingrid.

Une deuxième année plus intense et structurée

L’évolution d’Ingrid entre la première et la deuxième année de DCG est marquée par une intensification des cours et une interconnexion des matières. La complexité des sujets étudiés s’intensifie, et certaines notions se retrouvent dans plusieurs disciplines, comme la clause d’inaliénabilité qui revient en droit des sociétés, droit fiscal et comptabilité approfondie.

« La deuxième année est beaucoup plus intense et nous avons l’opportunité de découvrir des notions communes entre toutes les matières, ce qui rend l’apprentissage plus complet », raconte Ingrid.

Les matières les plus intéressantes et les plus difficiles

Ingrid identifie plusieurs matières comme étant particulièrement stimulantes et intéressantes cette année. L’anglais des affaires, la finance, le droit fiscal et le droit des sociétés sont parmi celles qu’elle préfère. Cependant, certaines matières comme la comptabilité approfondie et le droit fiscal sont plus complexes, nécessitant une concentration accrue.

« Les matières les plus intéressantes pour moi sont l’anglais des affaires, la finance, le droit fiscal et le droit des sociétés. Par contre, la comptabilité approfondie et le droit fiscal demandent beaucoup plus de travail et d’investissement », admet-elle.

Une alternance enrichissante malgré des défis

Ingrid a choisi de réaliser une alternance, bien qu’elle indique que son expérience professionnelle ne l’aide pas directement dans sa formation en raison de la dématérialisation et de l’automatisation des processus dans son entreprise. Néanmoins, elle apprécie la formation théorique qui lui permet de mieux comprendre les principes fondamentaux de la comptabilité.

« L’alternance m’a permis de découvrir la comptabilité pratique, même si l’automatisation dans mon entreprise ne me permet pas d’être en prise directe avec la comptabilité au quotidien. Néanmoins, ma formation me permet de comprendre les bases », explique Ingrid.

Un premier souvenir marquant et une vision de l’avenir

Le meilleur souvenir d’Ingrid dans sa formation à l’ENGDE reste l’apéro de rentrée, un moment de convivialité qui marque le début de chaque année universitaire. Quant à son avenir, elle se projette dans une carrière de commissaire aux comptes et d’experte-comptable, métiers qui nécessitent à la fois des compétences techniques en comptabilité et une solide expertise juridique.

« Mon objectif est de devenir commissaire aux comptes et experte-comptable après mon diplôme. Je sais que la formation m’apportera les clés pour réussir dans ces domaines. »

Un conseil précieux pour les futurs étudiants

Ingrid recommande aux futurs étudiants de ne pas négliger l’importance des révisions régulières pour réussir leur parcours. « Mon conseil, c’est de réviser au fur et à mesure et de ne pas attendre le dernier moment pour assimiler les notions importantes », conseille-t-elle.

Des enseignants compétents avec quelques ajustements à faire

Quant aux professeurs, Ingrid exprime globalement une satisfaction quant à leur compétence, bien qu’elle souligne que les cours pourraient être davantage mis à jour pour mieux refléter les évolutions du secteur. « Les professeurs sont très bons, mais parfois leurs cours ne sont pas toujours à jour », confie-t-elle.

 

Le parcours d’Ingrid illustre bien l’importance d’une formation rigoureuse et d’une bonne organisation dans la gestion des études. Entre une deuxième année de DCG plus exigeante, une alternance enrichissante, et un projet professionnel clairement défini, elle incarne l’étudiante déterminée à se forger un avenir solide dans le secteur de la comptabilité et du droit.

 

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